Arrivée du duc d'Orléans

Apercevant, Sire Archimbaud, la jeune femme quitta le petit groupe avec qui elle était après s'être excusée pour rejoindre son fidèle ami...

Elle lui offrit un joli sourire râvi de sa présence en ces lieux et fit une révérence

Mon ami, quel plaisir de vous revoir. Ca faisait si longtemps maintenant que je n'avais point eu l'occasion de vous croiser, ni même dans un couloir du PARS le temps me manquant ces temps-ci Elle lui fit un petit clin d'oeil

J'espère que vous avez fait bonne route pour venir jusqu'à nous.
Venez entrons nous aurons peut être l'occasion de discuter plus amplement au cours de la soirée.

Chère amie, vous êtes radieuse et ne regrette pas être venu personnellement pour fêter comme il se doit votre mariage avec le comte Lilin.

Je vous suis ma mie et attends des histoires sur votre nuit de noce, lui dit-il en lui faisant un clin d'oeil.

Le jeune époux rejoignit sa belle et charmante dame et Messire Archimbaud. Il se glissa doucement auprès de son aismée, lui déposa un baiser sur la nuque. Il se présenta alors au bon duc d'Orléanais.

Messire Archimbaud, c'est grande joie que j'éprouve de vous voir ici. A chacune de nos rencontres, je ressens toujours le même et intense plaisir de vous retrouver.

Nos nuits seront remplies de prières ferventes jusqu'aux troisième soir, soyez en sûr.

Le Comte rit à ses dernières paroles.

Dotch tapa le bras de son époux..

Bien évidemment que nous allons prier durant ces trois nuits... quoique sauf si je m'endors encore comme hier soir...Se mit à rire

Soit après seulement deux petites prières, une pour notre Seigneur et une pour Notre Sainte Vierge...

Donc rien de bien croustillant mon ami Lui rendit son clin d'oeil

Ah ! Il avait enfin retrouvé de nouveau le comte.
Comme il était loin le passé où il avait vécu en Flandres.
Il lui serra vigoureusement la main.

Vous voici donc, je suis heureux d'avoir pu venir ce soir honorer comme il se doit si heureuses épousailles.
Je vous prie d'excuser ma femme, elle est alitée depuis un certain temps, dit-il le regard un peu triste et songeur.

Mais diantre ! Nous sommes en un jour heureux, alors ripaillons de bon coeur !

Le Comte posa la main sur l'épaule du noble duc.

Sachez seulement, que si je puis vous apportez quelconque aide et surtout envers vostre noble dame, je le ferai sur l'heure. Soyez en sûr.

Changeant de ton, pour un plus joyeux, il ajouta

Place maintenant au banquet. Festoyons et ripaillons, noble compagnon.

Le jeune homme surpris se retourna vers la jeune damoiselle, se tenant derrière lui.

Ma soeur, vous estes doté d'une magnifique paire de prunelles qui vous sert admirablement. Effectivement vostre parrain est arrivé.

Il se tourna vers le noble duc

Noble ami et duc d'Orléans, je vous présente ma charmante soeur, Damoiselle Sancy, vostre filleule.

Damoiselle, ma soeur, je vous présente Messire Archimbaud, Duc d'Orléanais, vostre parrain

A ces mots, le duc se retourna.

Ainsi voici donc ma future filleule. Ah Lilin, vous ne m'aviez pas dit qu'elle était aussi charmante.

C'est un honneur pour moi damoiselle Sancy que vous m'ayiez choisi comme parrain, dit-il en prenant sa main pour y déposer un léger baiser.
Je suis heureux que vous ayez décidé de rejoindre la grande famille des aristotéliciens.
Est-ce lié à une circonstance particulière ou est-ce un désir profond qui vous anime de rejoindre la vraie foi ?

Dix ans au couvent et vous n'êtes point baptisée ? Décidément, il y a du relachement chez les bonnes soeurs.
A moins que vous soyiez fraichement adulte, aussi cela se comprend.

Dix sept printemps, quel bel age de la fin de l'insouciance et du début de la sombre décadence.

Votre frère vous a-t-il déjà trouvé un bon parti pour vous marier ?
Mais ne restons pas ici et prenons un verre au banquet.
(HRP : un peu marre de me dédoubler, ça fait bizarre ^^)